Se plonger dans la théorie constructiviste, c’est s’ouvrir à une autre façon d’entrer en relation à soi et aux autres. Cela pose la question du relativisme en termes de réalités, de perceptions et de constructions de nos expériences singulières.
Pour un professionnel de l’accompagnement des personnes, « Penser constructiviste » peut devenir un moyen de revisiter ses pratiques, sa posture et sa relation à ses clients dans un souci constant de « justesse » relationnelle partagée. Cela participe également à la garantie du maintient de l’indispensable éthique par le biais du respect de l’autre, de soi et du métier dans une relation collaborative, libérée de certaines entraves cognitives.
Comment éviter la symétrie et la résistance dans le cadre d’accompagnements ? Quoi faite face à un client que je qualifie de « difficile à accompagner » ? Comment éviter le piège des implicites, des normes et des théories ? Permettre au client de nous influencer positivement dans le choix de nos constructions d’interventions, créer une interaction collaborative de qualité avec son client, renforcer les co-influences relationnelles constructives, s’ouvrir à une circularité cognitive, émotionnelle, comportementale et interactionnelle dans la relation d’accompagnement… Voilà quelques points, parmi d’autres, que Frédéric Demarquet vous propose d’aborder à l’occasion de la conférence / débat du 28 janvier 2021.
La conférence s’adresse à tous professionnels de l’accompagnement des personnes et des groupes: coachs, mentors, consultants, thérapeutes, facilitateurs, formateurs, médiateurs, accompagnants social… et également à des DRH, RRH ou managers intéressés par les métiers de l’accompagnement.
Conférence en visio, via zoom – Envoi d’un lien la veille de la conférence (il n’est pas nécessaire de télécharger l’application).
Conférence gratuite, inscription obligatoire. Horaire: 18h30 – 20h00